La vitre, une simple plaque de verre, pourtant, un enfant en milieu aseptisé dans un hôpital caresse sa froideur et se sent abandonné par ses parents. Il souffre mais il n'a pas toujours les moyens de nous le dire, sinon de pleurer ou de nous tendre ses mains. Devenu adulte, des réminiscences tourmentent sa vie, contrarient ses ambitions et ses amours.

Les femmes, il les aime, peut-être plus que certains hommes, mais prisonnier de son passé, il ne peut concrétiser ses désirs, par peur des caresses, comme si le toucher était une douleur sur cette peau martyrisée par les soins attentionnés du milieu médical. Guéri, il traîne ses traumatismes psychologiques comme un boulet. Mais les épreuves de la vie lui apporteront un destin fabuleux.